Ceux-ci s'expriment de manière individuelle. L'essentiel est dans l'expressivité du chanteur, l'affrontement entre le "makè" et le "dansè".Notons l'importance de la codification de la danse qui est souvent shunter par de nombreux apprentis danseurs qui veulent courir avant de savoir marcher : - comment et à quelle moment entrer dans une ronde de "Léwoz", Les "maîtres ka" figurent les chanteurs, danseurs et les percussionnistes qui ont marqués cette musique par leur prestance, les textes, le jeu...Germain CALIXTE dit Chaben, Guy CONQUETTE, Arthème BOISBAN, Marcel LOLLIA dit Vélo, François IZIRIN dit Bagi, Robert LOYSON, Vincent BLANCUS, Ignace MELIOT dit Dolor, Henri DELOS, Mira DELOS, François MAULEON (JERNIDIER) dit Carnot, René PERRIN, Kristèn AIGLE, Valcourt GENE, Turgot TARET, Antoine SOPTA, Laurent TURENNE, Bernier LOCATION, Ti Céleste, Pierre SERIN dit Tipyè, Sergius GEOFFROY, Napoléon MAGLOIRE dit Napo, ...Fritz NAFER, Fred ANASTHASE, Aldo MIDDELTON, Pierrot NAROUMAN, Antonin MARTIAL, Emmanuel BLANCUS, ANZALA, Esnard BOISDUR, Yves THÔLE, Jacqueline CACHEMIR-THÔLE, Armand ACHERON, Marcel ISCAYE, JOMIMI RUGARD, François LADREZEAU, KANNIDA (René, Franck dit Zagalo, Malou GEOFFROY), INDESTWAS'KA (Frantz et André BROUSSILLON, Charles RIZED, Moïse PAULOBY, Alex JERNIDIER, René RUDDY), Raymonde PATER-TORIN, Lucien SELBONNE, Mario COCO, Georges et Sonny TROUPE, Orèl NICOISE, Teddy PELLISSIER, Simone et Josélita JACQUES, Evelyne ZENON dite Sésé...Et de nombreux autres qui émergent ou sont moins connus...by FANM KI KA.

Création et suivit Y.T. Chaque rythme de base est Le Gwo ka se joue avec 2 types de tambours : Le Boula qui est souvent le plus gros avec un son grave ; c’est celui qui soutient le rythme. Ti Céleste (Aurélien Céleste) est allé rejoindre les maitres Ka Carnot et Napo pour animer le grand LEWOZ. Les quatre chanteurs de gwoka (référencés dans le tableau 1 par leurs initiales) sélectionnés pour notre étude, viennent de deux des îles Guadeloupéennes (Basse-T erre et Grande- Chanteur, percussioniste, militant, Erick a oeuvré pour défendre et répandre les rythmes et la tradition Gwo ka aux Antilles mais aussi en métropole. Ce tambour est fabriqué à base de peau de 6 talking about this. Il est né des rythmiques africaines apportées par les esclaves.- un ou deux "boula" : tambour sur lequel le musicien " joue le rythme d'accompagnement- un "makè" : percussionniste soliste improvisant ou mettant en musique les pas des danseurs. Producteur, fondateur de la Case à Musique et premier éditeur de musique en Guadeloupe.. Mémoire de la musique en Guadeloupe, il n’avait pas son pareil pour vous raconter les origines du mas à Saint Jean dans les défilés carnavalesques de Pointe-à-Pitre dans les années 1945-1946 ou pour vous parler de son premier enregistrement de gwo ka avec le « met tambou » Vélo. La formation musicale : - un ou deux "boula" : tambour sur lequel le musicien " joue le rythme d'accompagnement - un "makè" : percussionniste soliste improvisant ou mettant en musique les pas des danseurs. Percussionniste et chanteur d'origine Guadeloupéenne ; Pratique et partage entre scènes, studios etc... la passion de la percussion Gwo ka (musique traditionnelle de la Guadeloupe) et par le biais de différents stages de KA et de danse à travers le monde. cabri femelle.Une formation complète se compose donc des 2 types de tambours, du chanteur soliste, des répondè (répondeurs) qui chantent les refrains, de chacha.Le boulagèl avait remplacé le tambour lorsque les maîtres l’avaient interdit aux esclaves.Parmi les chanteurs (chantè) les plus connus : Robert LOYSON, Concurrencé par les soirées festives, le LEWOZ à été déplacé ensuite au vendredi.Ce rythme est le plus noble de tous car il exprimait l’idée de l’élévation de son être au-delà du statut d’esclave. porteur de sentiments !Lent, rapide, langoureux, frénétique, festif, charmeur, envoûtant chaque rythme accompagnait l’esclave dans sa vie.Lorsque le KALADJA est dansé, il fait ressortir une certaine sensualité chez la danseuse qui fait de petits pas pour donner une large amplitude à la robe madras qui