Une situation qui inquiète sur la réalité de l’engagement d’Emmanuel Macron en matière de développement durable.Face à la «pire crise humanitaire au monde» selon l'ONU, la France continue d'exporter des armes à la coalition militaire. Les manifestations se poursuivent.Justice. A plus long terme, cette paix peut-elle être durable sans que ses responsables soient jugés ? La justice a relaxé les journalistes poursuivis en diffamation et les femmes accusant Denis Baupin d’agressions sexuelles et de harcèlement, au terme...Depuis 1989, le président soudanais dirige son pays d'une main de fer et tente d'imposer la loi islamique. Il a été destitué par l'armée ce mercredi.L’actu

VOA Afrique vous propose de suivre l'actualités de la Centrafrique à Bangui, Berberati et Bria, couvrant la politique, la santé, le sport, l'économie, la culture, l'histoire, la technologie.

Des combattants de l'ex-Séléka, à Bangui en 2013 (Archives).

Contrairement au discours officiel de Paris, le matériel vendu à Riyad sert de façon offensive et non simplement défensive.A trois semaines des élections générales, le principal opposant à Narendra Modi joue sur la carte de la concorde nationale dans un pays profondément clivé par la politique du leader nationaliste hindou.

Plusieurs organisations de défense des droits humains s’associent pour déposer ce jeudi des recours en justice contre la livraison de six bateaux par le ministère des Armées aux gardes-côtes libyens.La publication par le média «Disclose» d’une note militaire remet les projecteurs sur le conflit entre l’Arabie Saoudite et les Houthis.

Relevée par Daphné Benoit, la correspondante de l'AFP sur les questions de la Défense, elle montre deux affiches publicitaires en plein milieu de Bangui, la capitale de la Centrafrique. Comment ont été définies les zones où le port du masque est obligatoire ? Divers groupes armés ont continué à commettre de graves violations des droits humains tout au long de 2018, dans ce pays ravagé par des années de guerre.

Non, «Libération» n'a pas annoncé une chute grave de Jean-Marie Le Pen Covid-19 : des enfants soupçonnés d'être porteurs du virus sont-ils séparés de leurs familles en Allemagne ? 23/11/2019 23/11/2019 ani galerie Centrafrique : les enjeux politiques et diplomatiques de l’éventuelle extradition d’un ministre chef de guerre arrêté au Tchad. Covid-19 : qu'est-il prévu pour la rentrée scolaire alors que l'épidémie semble repartir ?

Socialistes-écolos : la déflagration Girard au-delà de la mairie de Paris EE-LV : Haro sur les nouveaux hérauts de la gauche 2022 : «L’écologie doit avoir sa candidature avant janvier» Le masque devient obligatoire dans l'ensemble de la ville de Toulouse «La peur, c’est le meilleur moyen pour Loukachenko de nous contrôler» Biélorussie : l’Europe s’en mêle, la Russie se fait discrète Danièle Voldman «Paul-Suzanne Grappe incarne la transformation des rôles féminins et masculins durant les Années folles» Non, les ONG françaises ne représentent pas l'Etat français «On s’est retrouvés face à la mort dans nos serres» : une exploitation bio vandalisée avec du glyphosate Pollution : au bord de l’Aisne, «tout le monde est en colère contre Nestlé» Changement climatique : comment les vignobles français préparent l'horizon 2050 Ouragans : va-t-on manquer de lettres pour les nommer cette année ? Un collectif de personnalités politiques demande plus de transparence sur la vente d'armes. En Centrafrique, le système de santé quasi inexistant est incapable de répondre aux besoins médicaux de la population et aux urgences liées à la guerre. Le journal du jour en exclusivité et le journal de demain avant tout le mondeNotre-Dame. Du 19 au 27 septembre la Cour pénale internationale étudie la valeur des accusations portées contre les ex-chefs anti-balaka Patrice-Édouard Ngaïssona et Alfred Yekatom. MONDELe tribunal anversois frappe fort contre des pontes des diamants de la guerre. Le chef de guerre Abdoulaye Miskine, leader du Front démocratique du peuple Centrafricain (FDPC), a été arrêté au Tchad, a annoncé mercredi le porte-parole du gouvernement centrafricain, qui a demandé son extradition aux autorités centrafricaines. En Centrafrique, les seigneurs de guerre tirent profit de la paix Par Célian Macé — 18 avril 2019 à 19:32 Ali Darassa et ses hommes, à Bambari, le 16 mars. Drôle de paix. La République centrafricaine qui est un pays qui regorge également des ressources naturelles n’a pas échappé à cette règle. L’arrestation du leader et fondateur du Front Démocratique du peuple centrafricain (FDPC), de son vrai nom « Il a été arrêté à la frontière entre le Tchad et la Centrafrique, à Harare Mangueigne, et amené à N’Djamena où il a aussitôt été mis aux arrêts à l’Agence nationale de sécurité (ANS) », le service du contre espionnage, a précisé un responsable tchadien de la sécurité. Lundi, le chef de guerre Ali Darassa montait les marches de la mairie de Bambari, dans le centre du pays, pour y être officiellement nommé Deux ans plus tôt, les miliciens de l’UPC avaient pourtant été chassés de la localité par les Casques bleus : les Nations unies avaient alors déclaré Bambari Ali Darassa se voit ainsi confier la responsabilité de diriger les Plus de deux mois après la signature de Khartoum, les affrontements, à Bambari comme dans le reste du pays, connaissent une Pour le moment, les Centrafricains, épuisés par cette lente et interminable guerre civile, y gagnent un répit salutaire.