Récemment, au mois de mai 2019, le gouvernement a attribué aux groupes pétroliers français Total et italien Eni quatre blocs d’exploration pétrolière en mer : les blocs CI-705 et CI-706 pour Total et CI-501 et CI-504 pour Eni.Aussi, le ministre en charge de ce département, Abdourahmane Cissé, a informé, le mercredi 19 juin 2019, que la production de pétrole brut à fin mars 2019 est de 3 346 150 barils, soit 37 179 barils par jour.
La Côte d’Ivoire demeure également encore loin des grandes ambitions affichées par le gouvernement, qui est d’atteindre 100 000 barils par jour. Les 4 blocs en production sont le CI-11 (Champ Lion et Panthère), CI-26 (Champ Espoir), CI-27 (Foxtrot) et CI-40 (Baobab).Le Centre de promotion des investissements en Côte d'Ivoire (Cepici) qui semble être bien informé du potentiel ivoirien en matière d'hydrocarbures, informe que le pays dispose de réserves de pétrole estimées à 100 millions de barils. Cette embellie reste encoreLa Côte d’Ivoire demeure également encore loin des La production cumulée de pétrole sur la période a atteint 3,34 millions de barils et rapporté 204,4 millions de dollars (environ 180 millions d’euros), dont 15,7 millions de dollars pour l’État ivoirien, après swap.La production de gaz a continué de baisser légèrement sur les champs ivoiriens sur la même période de fin mars pour atteindre 202 495 millions de BTU par jour, soit une chute de 9,09%.Le trader britannique Vitol attend toujours de conclure avec le gouvernement Le gouvernement propose à Vitol d’aligner ces prix sur celui de Foxtrot, autour de 5,5 dollars/BTU, pendant que les britanniques proposent 7,6 dollars par million de BTU. Le Cepici qui a pour mission de vendre le potentiel économique de la Côte d'Ivoire à l'extérieur en vue d'attirer le plus d'investisseurs étrangers possible, fait également le constat selon lequel le secteur des hydrocarbures ''commence à prendre une place importante dans l’économie ivoirienne''. Le service d'informations professionnelles du groupe Jeune Afrique qui vous offre le meilleur de l'information business en temps réel. (Agence Ecofin) - Le 26 octobre, le groupe français CGG a annoncé sur son site Internet avoir remporté auprès de la Direction Générale des Hydrocarbures (DGH) de Côte d'Ivoire et de PETROCI, la société publique du pétrole, un contrat d’acquisition de données gravimétriques multi-clients, de données gradio-gravimétriques et de données magnétiques. Début 2017, le gouvernement ivoirien annonce qu’il envisage de porter la production pétrolière nationale à 200 000 barils par jour (soit près de 73 millions de barils l’année) d’ici à 2020 où nous estimons pour le secteur de la distribution des carburants et lubrifiants en Côte d’Ivoire un CA global d’environ 4 … Du pétrole dans les eaux sénégalo-mauritaniennes au gaz dans les sous-sols nigérian et même marocain, en passant par les gisements d’hydrocarbures non conventionnels en Algérie, c’est tout le secteur qui change de physionomie.Analyse, débats, expertises... Pour comprendre l'Afrique de demain et d'aujourd'huiAnalyse, débats, expertises... Pour comprendre l'Afrique de demain et d'aujourd'hui Ce secteur est un gisement de croissance et offre des perspectives d’investissements. Le nouveau service d'informations professionnelles du groupe Jeune Afrique qui vous offre le meilleur de l'information business en temps réel. Il faut également mentionner les projets de construction d'usine de production d'urée (à partir du gaz naturel), de gazoduc (devant relier Abidjan au voisin ghanéen) et au nord de la Côte d'Ivoire, etc.Au niveau des produits pétroliers (elle porte essentiellement sur le gasoil, le kérosène, le super et le fuel-oil, production de la Sir), le gouvernement a fait le point qui donne une production totale, importations de bases incluses, de 923 309 TM; soit une hausse de 14,70 % comparée à fin mars 2018. Vue d'une raffinerie de pétrole. Les ventes totales réalisées par la Société ivoirienne de raffinage (Sir) enregistrent une progression en volume de 20,53% due à la croissance du marché Terre et en valeur de 13,46%. L'on apprend aussi, de sources officielles, que sur ces 61 blocs pétroliers, 20 blocs sont en activité (4 blocs en production et 16 blocs en exploration), 41 blocs sont libres dont 11 faisant l’objet de négociation. © Dirk Ingo Franke/CC/Flickr En face de SOLIBRA, sur le VGE, non loin du collège autoroute - Zone 3 Treichville - 30 BP 374 Abidjan 30 Abidjan - Côte d’Ivoire Tel: (+225) 21 75 45 40 La Direction Générale des Hydrocarbures est chargée d’assurer la coordination de l’exploration et de la production des hydrocarbures, la coordination de l’approvisionnement, du raffinage et de la distribution des produits pétroliers ainsi que le suivi et la règlementation en matière d’hydrocarbures.
D’une superficie d’environ 87 000 km2, il compte à ce jour 61 blocs pétroliers dont 7 blocs en onshore et 54 en offshore (48 blocs en offshore peu profond et 6 blocs en offshore ultra profond), selon les statistiques officielles disponibles sur le site du ministère du Pétrole, de l’Énergie et des Énergies renouvelables. Si la production ivoirienne de pétrole a augmenté de 16,50 % fin mars 2019, elle reste encore loin des ambitions affichées par le gouvernement, qui tente de faire du pays un grand producteur d’hydrocarbures. La modernisation et l'extension des capacités de la Société ivoirienne de raffinage (Sir) occupent une place de choix dans le plan stratégique de développement du secteur. Si entre-temps, le niveau de la production a chuté (42 147 barils/jour en 2016), il n'en demeure pas moins que des entreprises du secteur se bousculent pour acquérir des licences d'exploration et/ou d'exploitation. A savoir, 2 forages d’exploration, 3 forages d’évaluation et 6 forages de développement. Selon les statistiques comparatives, la production de gaz naturel à fin mars 2019 est en baisse de 9,09% par rapport aux résultats obtenus à fin mars 2018 (20 047 734,78 MMBTU) et en hausse de 0,92% par rapport aux prévisions 2019.